ainsi passe le temps

alain michard — cie louma

tout public dès 6 ans / durée : 40′

Ainsi passe le temps est une adaptation du texte de Robert Filliou L’histoire chuchotée de l’art. Forme courte pour deux interprètes, cette pièce est basée sur la musicalité du texte et sur la construction et la manipulation d’objets sonores. Forme dansée, parlée et visuelle, elle est éminemment musicale.
C’est un récit, un conte, une poésie. Tout cela à la fois.
Il y est question de l’art, mais sous un angle décalé, puisque ce sont des actions simples, concrètes, avec des objets, des matières, des expériences qui y sont décrites. L’idée proposée est de considérer l’art comme une expérience.

 



Informations pratiques

Générique

Chorégraphie et scénographie : Alain Michard
Interprétation : Matthieu Blond et Alain Michard
Conception sonore : Manuel Coursin
Régie générale : Gweltaz Chauviré
Regard extérieur : Julien Gallée-Ferré et Alice Gautier
Collaboration à la scénographie : Theodoor Koiijman
Crédit photo et captation vidéo : Alice Gautier

Production LOUMA
Coproductions : Communauté de communes Couesnon Marches de Bretagne, Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine (résidence-mission).
En partenariat avec la Ville de Rennes, Lillico / Scène conventionnée d’intérêt national en préfiguration (Art, Enfance, Jeunesse) et le Centre culturel du Coglais – Montours.
Avec le soutien aux répétitions SVB / DRAC-Bretagne.

Bio

Alain Michard est chorégraphe et artiste visuel.
À partir de la danse, sa « base historique », il mène parallèlement plusieurs projets artistiques, se saisissant tour à tour de différents médiums (musique, film, photographie, texte). Il associe fréquemment d’autres artistes à ses projets sous forme de collaborations, mais aussi des amateurs et les habitants des lieux où ils se réalisent.
Ses pièces et réalisations sont régulièrement traversées par la thématique du voyage et de l’errance : certaines créées pour la scène (BING d’après Beckett, Parkinson), d’autres pour l’espace public, travaillant sur la perception et l’imaginaire des villes et des paysages : Promenades blanches, Se fondre, En son quartier, L’Hippocampe de Kyoto. Le second axe majeur de son travail se construit autour des notions d’Histoire collective de l’art, de mémoire vivante et de document : École ouverte, J’ai tout donné, Mon Histoire avec la danse, La Carpe et le lapin (cours sauvages de l’histoire de l’art indompté)…
Son rapport au cinéma et son intérêt pour le jeune public l’ont conduit récemment à créer la pièce Le beau mariage. Ce travail autour des relations de la danse avec l’image se poursuit avec En danseuse, pour lequel il invite des chorégraphes à créer des danses filmées.
Ses projets se développent et sont présentés en France et à l’étranger (Japon, Brésil, Canada, Turquie, Italie, Belgique, Grande-Bretagne…).